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Par whitecat le 12 Juillet 2011 à 21:43
Comment domestiquer son maître quand on est un chat
De Monique Neubourg
Editions Chiflet et Cie (janvier 2011)
Résumé du livre
Voilà enfin un livre drôle et instructif qui prend le contre-pied des guides habituels sur nos amis les chats. Pour la première fois, le chat donne son point de vue sur son maître, ses habitudes, ses manies, ses lubies... et nous en apprend beaucoup sur nous !
L’Homme ne ressemble pas au chat : il est lourd, dépendant, pataud, gourd, raide, agité, désordonné, bruyant, mal léché. Pensez ! Il chasse avec des sacs en plastique non biodégradables et ne se lave qu’une seule fois par jour, en moins de 30 minutes.
Il était temps de rétablir l’équilibre et la vérité. Chers chats, qui me lisez, voici enfin un vade-mecum qui vous aidera à mieux comprendre l’homme, cet étrange étranger qui habite chez nous !
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Par whitecat le 10 Juillet 2011 à 12:04
Petit à petit, les chats deviennent l'âme de la maison.
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Par whitecat le 9 Mars 2011 à 23:03
Le chat
Dans ma cervelle se promène,
Ainsi qu'en son appartement,
Un beau chat, fort doux et charmant.
Quand il miaule, on l'entend à peine,
Tant son timbre est tendre et discret;
Mais que sa voix s'apaise ou gronde,
Elle est toujours riche et profonde.
C'est là son charme et son secret.
Cette voix qui perle et qui filtre,
Dans mon fonds le plus ténébreux,
Me remplit comme un vers nombreux
Et me réjouit comme un philtre.
Elle endort les plus cruels maux
Et contient toutes les extases;
Pour dire les plus longues phrases,
Elle n'a plus besoin de mots.
Non, il n'est pas d'archet qui morde
Sur mon coeur, parfait instrument,
Et fasse plus royalement
Chanter sa plus vibrante corde,
Que ta voix, chat mystérieux,
Chat séraphique, chat étrange,
En qui tout est, comme en un ange,
Aussi subtil qu'harmonieux !
Les Chats
Les amoureux fervents et les savants austères
Aiment également, dans leur mûre saison,
Les chats puissants et doux, orgueil de la maison,
Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentairesAmis de la science et de la volupté
Ils cherchent le silence et l'horreur des ténèbres;
L'Erèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres,
S'ils pouvaient au servage incliner leur fierté.Ils prennent en songeant les nobles attitudes
Des grands sphinx allongés au fond des solitudes,
Qui semblent s'endormir dans un rêve sans fin;Leurs reins féconds sont plein d'étincelles magiques
Et des parcelles d'or, ainsi qu'un sable fin,
Etoilent vaguement leurs prunelles mystiques.
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